« Carla n’a pas de permis. Pas de permis B, C, G, L, F, ni même de permis S.
Elle vient du Cameroun. En 2016, quand je l’ai rencontrée, ça faisait quinze ans qu’elle n’avait plus revu ses fils. »
Ainsi commence une enquête menée entre travailleuse domestique et ouvriers sur les chantiers, pour comprendre comment fonctionne notre cadre légal concernant le travail au noir.
A venir…